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Visages connus et reconnus

Soyez les bienvenus

 

 

Tout d’abord, traditionnellement j’évoque « Le livre du Mois » : Le titre Stern 111 de Lutz Seiler, auteur allemand. Éditions Verdier

Une évocation de la vie de ceux qui ont fui une Allemagne pour retrouver une autre Allemagne, celle de l’autre côté du Mur de Berlin.

L’histoire poignante de l’émancipation d’un pays à reconstruire.

 

Le titre Stern 111 fait référence à une marque de radio qui au même titre que la fameuse Trabant pour la voiture emblématique de la RDA, Stern 111 était la radio-portative déterminante de sa domination médiatique qui trônait sur la table à repas dans tous les ménages est – allemand, un objet iconique des années 1960, l’équivalent du Teppaz français

 

La destruction du Mur se révéla très tôt autre, ce qui n’était plus, bien sûr c’était un nouvel espace de liberté, mais cela fut aussi une difficulté d’appréhender la transition, la lente métamorphose, apprendre à se débarrasser de toutes les scories liées à l’ancien pouvoir et ce ne fut pas évident.

 

Quand on a été Allemand démocrate de l’Est, c’est dur d’être démocrate de l’Ouest, la notion n’étant pas la même.

Stern 111 est en quelque sorte l’appareil-objet qui donne la parole tout d’abord à Walter Ulbricht, puis celle ensuite de Erich Honecker, l’appareil qui donne lien, le tour de force littéraire c’est seulement vers la fin de l’ouvrage que le nom de cet appareil magique est livré aux lecteurs : Stern 111

Finalement une connotation de belle connivence : une étoile à la table des repas démocrates de la RDA

 

Stern 111 est-il une réponse au journal Stern de l’ouest, chaque étoile brille selon son rayonnement. ? C’est une interrogation de lecteur, rien n’est dit dans l’ouvrage.

 

Le couple protagoniste de la petite Histoire face à la Grande Histoire qui se reconstruit, la famille des Bischoff, Monsieur et Madame décident d’envoyer un télégramme à leur fils Carl âgé de 26 ans afin de lui demander pendant qu’eux quittent l’Allemagne de hier pour épouser l’Allemagne d’aujourd’hui et avant que la frontière ne se referme à nouveau, ils lui demandent de revenir à la maison pour être le gardien de leur appartement et de veiller sur leur voiture , non pas une vulgaire Trabant, mais une sidérante Shigoli produite en URSS. Les uns partent dans un sens, l’autre va dans un autre sens, c’est la migration des uns et des autres.

 

Mais le jeune Carl seul dans sa maison s’ennuie, il a bien trouvé dans la cave une belle réserve de cidre, mais il s’emmerde et à bord de sa Shigoli il va se diriger vers Berlin-Est pour découvrir la ville d’avant lui qui vient de la campagne.

 

Et s’en suit la suite burlesque, grotesque d’un voyage au ridicule de la RDA se décomposant, avec une respiration de temps à autre d’un échange de lettres avec les parents qui de leur nouvelle Allemagne rêvée se sont exilés aux États-Unis par fidélité disent-ils au rockeur Bill Halley qu’ils avaient bien connus avant que se construise le mur, le rock a une autre architecture de sons et de transformation d’une musique point couvre-feu mais de protocole différent. Il découvre un espace où la poésie de la liberté retrouvée est vite rattrapée par l’Union monétaire entre les deux Allemagne et les affaires reprennent et la poésie fout le camp, des poètes – fantômes errent dans une nouvelle Allemagne

 

Un livre dense 570 pages, la problématique de l’ouvrage non résolue : rester sur place et construire un nouveau monde fraternel ou tout laisser derrière soi et partir.

Un livre à lire…et que je vous recommande si vous êtes passionné de littérature du monde, le livre charnière de la carnification allemande. Lutz Seiler est un romancier.

 

 

Maintenant l’iconographie de l’article sur le Vatican et les réflexions que l’article soumis à notre analyse.

 

Une œuvre de l’artiste Joaquim Reyes Urrutia titrée… entre quelques nuages… Urrutia est né en 1984, c’est un artiste chilien… l’expression être entre quelques nuages est une expression typiquement chilienne équivalent à l’expression gauloise du cul entre deux chaises… on voit effectivement sur l’illustration deux fauteuils autour d’un guéridon qui attendent des conciliabules dans une atmosphère vaporeuse

 

Le pape contre les croisades occidentales

 

Entre deux chaises ou entre deux nuages, le dénommé François résidant au Vatican est requis de s’élever contre les croisades occidentales désignant la Russie comme l’agresseur, certains pays africains, latino-américains voire asiatiques ont une autre interprétation liée surtout à leur passé colonial, François a en effet le cul entre deux chaises comme on le dit trivialement dans la culture française, dans la culture sud-américaine et plus particulièrement chilienne coincé entre deux nuages-

 

En effet, François a l’air d’être vraiment assis entre deux nuages… ménager la chèvre et le chou.

 

L’article fait un sort à la porte ouverte, au dialogue qui a toujours été le fait, nous dit l’auteur de l’article citant des racines de tradition remontant au XIXème siècle, – vous remarquerez en passant qu’il cite un siècle proche du XXème siècle et sans vouloir être trop inexact le pape en exercice sous la Deuxième Guerre Mondiale n’a pas particulièrement été très disert, le représentant de Dieu a brillé par son absence dans le génocide nazi envers les juifs et autres tziganes, ce n’était qu’une parenthèse, certains diront que j’ai tort… qu’il a beaucoup fait.

 

Fort de ce principe, l’auteur de l’article Timothée de Rauglaudre, journaliste indépendant d’investigation spécialiste des questions religieuses et sociales, coréalisateur d’un documentaire diffusé sur Arte en 2019 Homothérapie conversion forcée ( j’en parle parce que je l’ai programmé lors de sa diffusion à ma vision par curiosité ) ce documentaire évoquant la souffrance de certains homosexuels – femmes ou hommes – invitées ou forcées à se convertir à l’hétérosexualité ou alors l’abstinence, documentaire fort intéressant au demeurant .

Timothée de Rauglaudre lui – ce qui n’a aucun rapport – s’est converti au catholicisme.

 

Donc le journaliste, dans son article, évoque Jean XXIII et le conflit du Cuba et le duo un pas en avant, un autre en arrière de Kroutchev et Kennedy, les deux K comme nommés à l’époque, avec comme Maître de danse Fidel Castro.

Jean Paul II anti-communiste viscéral faisant ami-ami avec Ronald Reagan mais s’insurgeant quand celui-ci fait sa guerre-guerre en Lybie en bombardant le pays.

Benoit XVI qui a été benoîtement absent sur la scène internationale, un confort point inconfortable.

François le premier qui n’a pas de numéro lui s’essaye à être présent en

porte–voix des pays d’Amérique Latine, et adepte de la Théologie de la Libération,terme pudique qui veut dire plus de justice sociale et moins de théologie, mais on voit bien que cette approche prudente ne satisfait pas les moins conservateurs du Vatican au plus progressistes, aucuns n’y trouvant son compte, voir même l’agacement des chancelleries occidentales, voyant avec méfiance les prises de position du Pape chef de l’Église Catholique ménageant une fois de plus les nuages…

 

Un article finalement rédigé… entre deux nuages pour être poli… pesant le pour et le contre et qui philosophiquement bien que François ayant fait philosophie dans son pays d’origine reste une philosophie elle aussi entre deux nuages.

Faut-il un retour à un pacifisme foncier moralement admissible, plaider pour l’abolition des armes nucléaires ou être en va-t’en guerre au nom de l’injustice, une croisade admissible

François un médiateur ? Avec un point d’interrogation, bien sûr.

Rendons à François au premier jour de l’invasion des troupes russes en Ukraine crédit de s’être rendu lui-même auprès de l’ambassadeur de Russie au Vatican pour demander audience à Poutine, audience que celui-ci n’a pas accordé. François a dû changer de prénom en se trouvant Gros-Jean comme devant.

Puis François toujours en deux nuages… ménageant l’église Ukrainienne et l’Église Russe au nom de l’œcuménisme de bonne compréhension et ménageant aussi les pays africains encore enclins à écouter la voix papable et être susceptibles à être christianisés.

 

Le pape contre les croisades occidentales (suite)

Un éclairage de Carlo Baumgartner

 

Il me semble d’une manière générale que le pacifisme est depuis une année en perte de vitesse.

Pourtant, il est évidemment intéressant de savoir ce qu’un représentant du monde spirituel peut dire à propos d’une guerre actuelle dans un monde de consommateurs. Il est vrai que François est un pape plutôt progressiste : il s’est opposé aux colonels argentins et il adhérait du moins à la théorie de la libération, tous les papes ne sont et de loin pas progressistes.

 

La position du pape est en tout cas difficile : essayer d’être neutre ou pacifiste en se référant implicitement aux évangiles pour revenir en fait à laisser Poutine détruite l’Ukraine. François a d’ailleurs aussi essuyé de violentes critiques à ce sujet.

 

Sa position est parfois contradictoire, mais elle est plus subtile qu’il n’y paraît à première vue, selon l’article de Timothée de Rauglaudre. Et le problème du pacifisme est d’une grande complexité.

 

D’une part, le pape prend une position très critique à l’égard de Poutine.

Il est pacifiste lorsqu’il qualifie la guerre de Poutine d’injuste, d’inacceptable, de barbare, d’insensée, de répugnante, de sacrilège.

 

Il a également des mots des plus violents, lorsqu’il compare l’agression de Poutine à l’Holodomore (Cette famine qui a causé la mort de centaines de millions d’Ukrainiens du temps de Staline et à l’opération Reinhard : le massacre d’innombrables juifs en Pologne perpétré par les Nazis).

 

Il est aussi très critique lorsqu’il traite son collègue orthodoxe Kirill de « clerc de l’état » et « d’enfant de cœur de Poutine », étant donné que Kirill bénit la guerre en Ukraine (Kirill patriarche de Moscou et de toutes les Russies).

 

Il est encore pacifiste lorsqu’il déclare : nous devons tout faire pour que la guerre s’arrête.

 

Au début de la guerre, il demande d’ailleurs une audience à Poutine pour implorer celui-ci d’interrompre son intervention militaire (mais, comme on pouvait s’y attendre, Poutine ne donne aucune suite à la demande du Pape)

 

Cependant, sa critique englobe aussi l’occident : les « aboiements de l’OTAN aux portes de la Russie », les va-t-en-guerre du monde occidental. Lire, entre autres, l’article publié en mars par le Monde Diplomatique sur le rôle de la presse à ce sujet. François condamne bien justement le pouvoir économico-technocratico-militaire par lequel « les puissants » de ce monde dominent les peuples, même en leur imposant des guerres.

 

Il a bien sûr raison quand il demande ce qu’on peut faire à cet égard lorsque l’ONU n’a pratiquement aucune efficacité et qu’il n’y a aucune institution dans ce monde civilisé capable d’intervenir pour empêcher ou faire cesser une guerre. Et pourtant se taire n’est pas une solution.

 

Mais j’aimerais faire une dernière remarque un peu moins pessimiste, en me référant à l’épisode de la Croix à Pâques : une famille russe et une famille ukrainienne portant ensemble le Crucifix. Les Ukrainiens évidemment sont scandalisés que François ne fasse pas la différence entre agresseur et victime.

 

Et pourtant pourquoi deux familles quelconques ne seraient-elles pas sensées porter ensemble le crucifix dans le cadre d’une communion chrétienne ?

Pourquoi devraient-elles se détester mutuellement parce que Poutine déteste en fait l’Ukrainien dans le but de réaliser ses funestes buts. Par exemple.

Tous les autres puissants de ce monde ne se moquent-ils pas également des populations pour ne défendre que leurs propres intérêts ?

Pourquoi dès lors les peuples ne devraient-ils pas résonateur démocratiquement ces problèmes eux-mêmes ?

 

Je pense que si une solution devait être trouvée à la solution de ce gente de conflits. Elle ne pourrait l’être que si le peuple avait une bonne éducation et une maturité politique suffisante. Voilà ma confidence rousseauiste !

 

A ce sujet, un exemple me traverse l’esprit : lorsque les armées américaines massacraient pendant des années les Vietnamiens, une partie du peuple des États-Unis, notamment les jeunes, s’est révoltée en refusant de servir la classe dominante américaine, en s’exilant par exemple, ce qui a contribué à mette fin plus rapidement à cette guerre. Oui, le peuple a le droit de désavouer son gouvernement !

Ce ne sont pas les Iraniennes qui me contrediront !

 

Les deux éclairages ont suscité des enrichissements de part et d’autre et l’un de nos intervenants a orienté le débat vers les propos de Daniel Ortega, Président du Nicaragua sur le Pape, signalant les propos suivants :

 

Le peuple devrait élire les cardinaux et il devrait y avoir un vote au sein du peuple catholique afin que le pape soit également élu par un vote direct du peuple pour que ce soit le peuple qui décide et non la Mafia qui est organisée là-bas au Vatican… propos louable et intéressant et voici son développement par de nos participants.

 

Cela a causé un retournement inattendu chez le peuple qui n’avait parlé qu’en termes vagues, une fois, de sa préoccupation par la situation au Nicaragua et n’avait pas encore élevé la voir après la détention dans son domicile de l’évêque Alvarez de Matagelpa l’été dernier.

 

C’est ce qu’il a fallu pour qu’il change d’attitude et de ton lorsque la même évêque a refusé de se faire déporter avec 222 autres prisonniers politiques et a alors été enfermés dans des conditions affligeantes puis condamné à la hâte à 20 ans de prison pour trahison.

 

A la surprise du monde entier, après deux semaines, le pape a accordé un interview à un journaliste du Tessin où il a qualifié le président Ortega de « déséquilibré » et compare à sa dictature avec, celle de la révolution communiste née en 1917 et celle des années 1930 avec Hitler et le nazisme.

 

Pour la dernière demi-heure, nous y voilà

 

ISRAEL, LE COUP D’ETAT IDENTITAIRE

 

Tout d’abord une brève évocation de l’iconographie du deuxième article.

 

Pour la dernière demi – heure, je ferais une analyse de l’iconographie et un bref résumé de l’article sur Israël, au fond comme le Vatican une affaire de religion, la foi ici ayant figuration aussi de territoire.

 

Une photo montage signée de Larissa Sansour Nation Estate 2012 que l’on peut traduire par : Domaine national mondialement connue et exposée dans maints musées du monde.

Photo extraite d’une vidéo d’une artiste palestinienne – première approche… pour illustrer l’article sur Israël, la rédaction a choisi un artiste palestinien, intéressant.

L’illustration est ciblée et sert avec justesse le propos éditorial de l’article.

Larissa Sansour née à Jérusalem, vit à Londres, son travail consiste sur la mémoire et l’identité nationale, celle du peuple palestinien

Dans Nation Estate, elle imagine un pays où le peuple palestinien est logé dans un unique gratte – ciel et où différents objets de la vie palestinienne sont considérés comme reliques d’un temps passé.

 

Elle dit… Si nation veut dire communauté imaginée comment imaginer une face à un projet de déplacement forcé de morcellement qui sacrifie tous les repères de la mémoire et surtout le territoire sur lequel l’imagination se fonde

C’est tout dire…c’est clair… tout est dit.

 

Article de Charles Enderlin, ancien correspondant de la Radio Suisse Romande dans les années 60-70

 

Benyamin Netayahou est de nouveau au pouvoir, mais cette fois avec une coalition de 64 députés (la Knesset comprend 100 députés) fait de nationalistes, d’ultra-orthodoxes et de messianiques, grâce à cet hétéro-acclimations hybrides, le sus dit Benyamin peut enfin, réaliser son rêve démocratique : Instaurer en Israël un nouveau régime basé sur un nationalisme juif, autoritaire, religieux en rupture avec la démocratie prônée par les pères fondateurs tel que Ben Gourion

Ce qui justifie le titre de l’article : Israël, le coup d’État identitaire.

 

Un sous-titre explicite un peu mieux le propos :

Définition stricte de la judéité… en distribuant à chaque représentant de parti d’extrême droite des renoncements démocratiques, par exemple l’enseignement public religieux était jusqu’à présent même en Israël – apolitique – l’instauration d’une agence de promotion de l’identité nationale juive…enfin pour résumer un chamboulement complet des institutions du pays.

 

L’accord primordial, c’est de réduire à la stricte application de la loi religieuse… la définition de la judéité et la loi du retour en terre d’Israël serait aussi d’interdire la venue d’immigrants considérés comme insuffisamment juif, enfin tout à l’avenant.

 

Le parti Kach, petit parti qualifié d’extrémiste, jugé raciste et interdit en Israël en 1994 est rétabli dans son intégrité démocratique et est maintenant tributaire d’un ministère important, celui de la Sécurité Nationale. On croit rêver.

Et malgré plus de trente mille signatures d’israéliens convaincus du contraire, Netanyahou, premier ministre à la Knesset a déclaré que pour lui à ses yeux, seul, comptait la majorité qui lui a été donnée par les électeurs le 1er novembre 2022… C’est aussi cela la démocratie.

 

Une erreur de la Démocratie… ce qui pose, philosophiquement parlant, une question : la démocratie est-elle source de nocivité ou pas ?

La Démocratie peut-elle engranger des erreurs de parcours… La démocratie est-elle pire qu’un État étatisé dans sa plénitude dictatoriale.

Voilà brièvement résumé l’article

 

ISRAEL, LE COUP D’ETAT IDENTITAIRE (suite)

 

Un éclairage de Carlo Baumgartner,

 

Dans le titre, le terme identitaire s’entend dans toute son horreur

 

Être identique aux autres membres de son clan, de sa notion, de sa religion, de son ethnie, en excluant, en opprimant toutes les autres minorités, voilà un aspect central du fascisme, voilà la cause de tant de drames, de meurtres, d’humiliations, de misères dans le monde.

 

J’ai vécu cette réalité répugnante lors de mon séjour en Palestine, il y a environ 4 ans. Les Israéliens oppriment les Arabes, mais aussi les Chrétiens et les autres minorités, en les privant d’une liberté élémentaire, en les humiliant au quotidien, en les emprisonnant arbitrairement, si possible dans le désert, en les isolant du monde, en détruisant leurs maisons, en les dérobant, en les contrôlant dans toutes leurs activités, inclus leurs importations et leurs exportations, en privant la jeunesse d’avenir, en tuant un nombre considérable d’être humains, inclus des enfants.

 

Et dire que le gouvernement actuel veut durcir sa politique fasciste d’une manière extrême, veut abolir de fait la démocratie, créer un état exclusivement juif, en supprimant la perspective d’une solution à deux états, en ignorant toutes les autres minorités.

 

Je suis un peu consolé de voir qu’une partie importante des Juifs israéliens combattent activement cette évolution et j’espère que leur combat aboutira à un retournement de la situation politique.

 

Le débat qui s’en suivit ne fut pas houleux comme je m’y attendais, plutôt favorable à nos deux analyses, trouvant même qu’il était assez symptomatique par désir de vouloir à tout prix exister comme entité juive, de se rendre compte que les victimes de hier deviennent même sans s’en l’appréhender les bourreaux d’aujourd’hui et une partie d’Israël ne se rend même pas compte que les plus virulents sont les juifs de l’Est de l’Europe : les Ashkénazes contrairement aux Séfarades natifs plus ouverts par raisonnement et par instruction, ce qui devrait interpellé les natifs, l’instruction le nerf de tout pays.

Être contre le gouvernement actuel n’est pas être contre Israël, il est utile de le préciser, pour éventuellement dissiper toute ambiguïté.

 

 

Juste un coup de chapeau en passant (pourquoi pas)

 

Hors contexte mais non hors philosophie, le site philo recommande une émission de la TV Suisse Romande1, HELVETICA diffusée chaque samedi après-midi juste après le journal de 12 h 45 animée en alternance avec Elisabeth Logean et Philippe Revaz, ce samedi 18 mars l’invité était l’écrivain italo-suisse Giuliano da Empoli auteur du Mage de Moscou, une émission, en tout point de vue, remarquable par la finesse de l’invité et des questions de l’intervieweur.

Ne loupez pas cette émission chaque samedi après-midi juste derrière la case téléjournal. (Rediffusion sur RTS 2, en principe le vendredi suivant).

 

 

 

 

 

 

 


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